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«Quand l’une de mes filles se mettait en colère, je n'arrivais pas toujours à rester zen et je m'en voulais après. C’est normal qu’au bout de la cinquième colère, on «pète les plombs...». Dans ces cas là, on peut expliquer à l'enfant qu'on a aussi des stress, qu'on a des grands coups de fatigue et des limites...» Isabelle, maman, grand-mère
Pour nous, adultes, il est important (mais pas toujours facile…) d’essayer de garder notre calme et de ne pas ajouter de la tension. L’enfant ressent notre tension… Pas facile de faire face au regard des autres, proches ou éloignés. En général, on a droit à la remarque de la vieille tante ou de la voisine « mes enfants ne faisaient jamais cela… ». Qui ne s’est pas déjà trouvé dans cette situation ? Comment se consacrer à la scène qui se déroule entre soi et son enfant et ne pas se préoccuper du regard des autres ? Comment ne pas se sentir jugé dans son rôle de parent ?
Malgré tout, et tout en restant ferme, il est important de conforter son enfant, de lui montrer que nous sommes bien présents et prêts à l’aider à dépasser cette colère. Il faut qu’il sente que nous sommes là pour lui, qu’il n’est pas seul. On peut le prendre dans nos bras en lui disant qu’on comprend, que c’est difficile pour lui, mais que ce n’est pas une façon de communiquer. Cela peut avoir lieu avant ou après le « time out » en fonction de l’état de l’enfant.